L’Affaire Alaska Sanders, critique du dernier roman de Joël Dicker
L’Affaire Alaska Danders de Joël Dicker
J’ai dévoré tous les romans de Joël Dicker pendant l’été 2021 et j’aime particulièrement deux choses dans ses romans : l’ambiance géographique que l’on ressent très bien (américaine ou suisse pour son avant dernier roman), et les personnages qui sont tellement bien décrits qu’on a l’impression de les voir devant nous et de savoir exactement à quoi ils ressemblent, quels sont leurs gestes, leur façon de marcher etc. Ce sont deux qualités que j’ai moins retrouvées dans l’Affaire Alaska Sanders.
Toujours dans le même esprit, Marcus se retrouve face à un meurtre à résoudre, et on trouve beaucoup d’analyses des années 1997 à 2010, respectivement l’année du meurtre puis de l’enquête.
Je suis toujours un peu déçue ou gênée par la fin de ses romans : (attention presque spoiler) : on ne peut pas deviner l’assassin et il arrive comme un cheveu sur le soupe, dans les 50 dernières pages, cela me semble à la fois tordu et subtil.
L’insistance de revenir sur les romans L’Affaire Harry Quebert et Le Livre des Baltimore est un peu gênante et grossière, étrange…
J’ai tout de même passé un bon moment et on enchaîne les pages sans regarder sa montre, sans bailler, et en repoussant l’heure du coucher, c’est peut-être les signes d’un roman réussi.
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